Auto/Moto

F1 : un Max Verstappen supersonique pour une Red Bull historique

Comme très souvent F1, c'est la monoplace Red Bull de Max Verstappen qui s'élancera en tête demain lors du Grand Prix de Chine 2024. Après une course sprint matinale également rondement menée par le Néerlandais, le triple champion du monde s'est adjugé sur la piste sa cinquième pole de l'année en autant de rendez-vous. Mais si cette donnée peut sembler anecdotique, le résultat en lui-même s'avère historique pour le team Red Bull.

Si le temps n'était pas à la fête pour Red Bull au moment de s'élancer en dehors du top 3 sur la course sprint, il s'est quelque peu éclairci au moment des qualifications pour la course de dimanche. En effet, en plus d'avoir finalement remporté ce sprint, Red Bull et Max Verstappen ont signé la pole pour le Grand Prix de Chine de dimanche. Un résultat loin d'être surprenant tant nous sommes habitués à voir cette monoplace performer au quotidien. D'ailleurs, son coéquipier Sergio Pérez poursuit lui aussi son bon début de saison. Le Mexicain complète la première ligne pour demain juste devant l'inépuisable Fernando Alonso (Aston Martin).

F1 : Un week-end d'ores et déjà historique pour Red Bull et Max Verstappen

Mais le plus important à l'issue de cette qualification n'est pas forcément apparent à l'œil nu. Lorsqu'il a franchi la ligne d'arrivée avec plusieurs dixièmes d'avance sur ses adversaires, Max Verstappen est entré un peu plus dans la légende de son écurie. En décrochant sa cinquième pole de la saison en autant de Grands Prix, il a surtout réalisé la centième pole position de l'histoire de Red Bull. Assez drôle pour être soulignée, la première avait elle aussi eu lieu sur le circuit de Shanghai. C'était en 2009. Ce jour-là, Sebastian Vettel avait été le plus rapide en piste le samedi avant de s'imposer le dimanche. De quoi donner des idées à Max Verstappen ? En attendant, d'un point de vue personnel, c'est la 37e pole en carrière avec Red Bull pour le Néerlandais.

Actuellement en Master à l'ESJ Lille, je m'avère être un adepte du groundhopping à la recherche de grosses ambiances qui ambitionne de parcourir le globe à travers ses stades de foot. Côté maillot, je fus biberonné au chardon nancéien et au coaching de Pablo Correa. J'ai aussi grandi avec le calme d'Arsène Wenger et les tacles de Laurent Koscielny sur Canal. Mais parce qu'il n'y a pas que le football dans la vie, je vibre tout autant à encourager Thibaut Pinot dans son virage, Julia Simon devant L'Equipe, mais aussi Arthur Fils sur Eurosport.

Dernières publications

En haut