Le Grand Prix du Mexique a souri à Charles Leclerc. 2e derrière Lando Norris, le pilote Ferrari a retrouvé le sourire et pousse pour voir son écurie briller lors des 4 dernières courses de la saison F1 2025.

La crise qu'a traversée Ferrari cet été est-elle en train de se dissiper ? Ces dernières semaines, plusieurs personnalités de la Scuderia sont venues éteindre un incendie dangereux. Le président John Elkann a confirmé son soutien pour Fred Vasseur au poste de Team Principal.

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De leur côté, les pilotes Ferrari sont eux aussi venus défendre le dirigeant français. Après Hamilton, Charles Leclerc a pris la défense de Vasseur. Sauf qu'on le sait, les paroles ne suffisent pas. En Formule 1, seule la vérité de la piste compte. Et ce week-end, le Monégasque a rappelé à tout le monde pourquoi il restait l'un des meilleurs pilotes au monde.

Ferrari peut-elle espérer terminer 2e au classement des constructeurs ?

Si Lewis Hamilton n'a pas vécu un week-end extraordinaire (8e au classement final), Charles Leclerc a terminé 2e, décrochant au passage son 50e podium en 167 courses de F1. Conscient d'avoir retrouvé du peps, le pilote Ferrari n'a pas caché ses ambitions pour la fin de saison.

“Il est très difficile d'être performant tout le temps, mais c'est l'objectif que nous devons viser” a déclaré Leclerc après le GP du Mexique. “J'espère que cela suffira pour nous permettre de terminer 2es du championnat”. Pour rappel, Ferrari a repris les commandes de la 2e place au détriment de Mercedes (356 contre 355).

Un classement des constructeurs F1 2025 extrêmement serré, sachant que Red Bull est à l'affût (346 pts). Si la saison blanche est presque actée, Charles Leclerc a donc encore l'espoir faire de la SF-25 la 2e meilleure monoplace du paddock F1, derrière la MCL39. L'optimisme n'est cependant pas d'actualité dans les rangs de l'écurie italienne.

“Ça va être très difficile. […] Nous devons simplement nous concentrer sur chaque course et réaliser une exécution parfaite” a assumé Leclerc. Plus facile à dire qu'à faire ? Les Grands Prix du Brésil, de Las Vegas, du Qatar et d'Abou Dabi seront là pour donner raison à Ferrari et à un Charles Leclerc capable de maintenir son écurie à flot.