F1 : Max Verstappen en pôle pour remplacer Hamilton chez Mercedes
La Seally Season de Formule 1 ne sera pas de tout repos pour les écuries. En lien avec l'affaire Christian Horner, Max Verstappen pourrait quitter Red Bull pour rejoindre Mercedes.
Verstappen chez Mercedes ? Si certains fantasmes à l'idée de voir le triple champion du monde dans le baquet de la marque à l'étoile, aujourd'hui les rumeurs enflent. Le cas Christian Horner est en train de prendre des dimensions que peu de personnes avaient anticipé.
Ce lundi, le média allemand AMS Online, Max Verstappen serait actuellement le candidat “le plus en vue” pour remplacer Lewis Hamilton chez Mercedes. Une situation qui a pris de l'ampleur ce week-end après que Jos Verstappen, le père de Max Verstappen, ait rencontré Toto Wolff à Bahreïn. Les deux hommes auraient longuement échangé, mais le sujet de la discussion est encore inconnu.
Mercedes monte en puissance à l'approche de 2026
Excepté le cas Christian Horner et les tensions entre le clan Verstappen et le patron de l'écurie autrichienne, les prévisions pour 2026 ne semblent pas au beau fixe pour Red Bull. Toujours selon le média germanique, Mercedes serait en avance sur la nouvelle réglementation moteur en 2026 et pourrait reprendre les devants dans la hiérarchie. Comme en 2014, l'écurie allemande retrouverait les sommets grâce à une meilleure compréhension de leur moteur.
Red Bull quant à eux, serait dans le flou et les premières estimations seraient moins bonnes que prévu. Ajouté à cela, le lien contractuel entre Christian Horner, Adrian Newey pourrait précipiter un recul dans la hiérarchie. De plus, Helmut Marko craint actuellement “que les turbulences au sein de l'équipe ne fassent fuir non seulement Verstappen, mais également Adrian Newey et le futur partenaire moteur Ford.
🚨💣 Max Verstappen serait actuellement le candidat "le plus en vue" pour remplacer Lewis Hamilton chez Mercedes, selon @amsonline, média allemand souvent très bien informé ! 😯
"De plus en plus d'indices laissent penser que le transfert sensationnel pourrait avoir lieu",… pic.twitter.com/NnauxnhYOo
— Secteur F1 (@Secteur_F1) March 4, 2024
Qui pour remplacer Verstappen en cas de départ ?
Dans l'éventualité où le triple champion du monde Néerlandais transfuge de Red Bull vers Mercedes, alors l'écurie autrichienne devra trouver un remplaçant. Et c'est Fernando Alonso qui est à ce jour en pôle. L'Espagnol surveille de près la situation au sein de Mercedes et Red Bull alors que sa fin de contrat chez Aston Martin en 2024 lui laisse pléthore de possibilité.
À bientôt 43 ans, le double champion du monde n'a plus beaucoup d'années en Formule 1 et l'occasion de piloter la meilleure voiture du plateau en 2025 semble une chance inouïe. Cependant, Alonso se donne quelques semaines pour réfléchir à son avenir en F1. Le calendrier surchargé pourrait contraindre l'Espagnol à une retraite définitive de la catégorie reine.
🔴 Si Max Verstappen devait partir chez Mercedes, Fernando Alonso serait "en tête de liste" pour prendre sa place chez Red Bull affirme #AMuS ! 👀
Flavio Briatore, son manager, s'entend aussi bien avec Toto Wolff qu'avec Christian Horner.
L'Espagnol ne veut officiellement pas… pic.twitter.com/kK8gjwrpW4
— Off Track (@OffTrack_FR) March 4, 2024
Mohammed Ben Sulayem veut que Max Verstappen s’exprime
Ce dimanche après-midi, le média Néerlandais The Telegraaf explique que Mohammed Ben Sulayem, président de la fédération internationale de l'automobile (FIA) aimerait que le triple champion du monde s'exprime en public.
Mohammed Ben Sulayem serait allé voir le Néerlandais après les qualifications ce vendredi pour lui demander si ce n'était pas le moment opportun pour faire une déclaration publique. Pour rappel, selon le Daily Mail, Jos Verstappen et Christian Horner auraient eu un échange musclé lors de cette même qualification. Le père du Néerlandais a attaqué le team principal de l'écurie autrichienne ce dimanche dans une interview au Daily Mail. Certains soupçonnent toujours que ce soit le clan Verstappen qui soit à l’origine de la fuite de l’information sur l’enquête interne en février dernier, lorsque le Telegraaf a révélé l’affaire.