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CAN 2024 : l’Algérie a tenté de séduire un champion du monde 98

La CAN 2024 aura eu raison du sélectionneur de l'Algérie Djamel Belmadi. Les Fennecs n'étant pas parvenus à se hisser en dehors des poules d'une compétition à laquelle ils étaient pourtant favoris, doivent désormais se trouver un nouvel entraîneur. Pour ce faire, la Fédération algérienne de football a tenté un joli coup de poker en contactant un champion du monde 98.

À l'heure où les entraîneurs viennent et repartent à la vitesse de la lumière, Djamel Belmadi a passé plus de cinq ans à la tête de la sélection algérienne. Remercié à la suite d'une CAN 2024 au cours de laquelle son équipe est tombée bien bas, il quitte finalement le navire par la petite porte. Pourtant, l'histoire entre les Fennecs et l'ancien joueur marseillais avait démarré de la plus belle des manières. En 2019, lui et l'Algérie sont montés sur le toit de l'Afrique en remportant la deuxième Coupe d'Afrique des nations de leur existence. Derrière, une incroyable série de 35 matches sans défaite avait fait de l'Algérie une sélection redoutée par de nombreux adversaires du monde entier.

CAN 2024 : l'Algérie tente le tout pour le tout

Sur la liste pour remplacer Belmadi, on retrouve des noms bien connus du paysage footballistique africain. Vahid Halilhodzic ou encore l'actuel sélectionneur de l'équipe de France féminine Hervé Renard sont observés de près. Pourtant, selon les informations de L'Equipe, la Fédération algérienne de football a essayé de convaincre Zinédine Zidane de prendre les rênes de l'équipe. Cependant, le champion du monde 98 a décliné rapidement la proposition. Bien qu'il se soit montré très flatté par la proposition, l'ancien entraîneur du Real Madrid n'est pas intéressé à reprendre du service. En effet, après avoir refusé le banc brésilien et états-unien, Z.Zidane attend l'opportunité qu'il ne pourra pas refuser : l'équipe de France. Peut-être que celle-ci arrivera dès cet été à l'issue de l'Euro 2024.

Actuellement en Master à l'ESJ Lille, je m'avère être un adepte du groundhopping à la recherche de grosses ambiances qui ambitionne de parcourir le globe à travers ses stades de foot. Côté maillot, je fus biberonné au chardon nancéien et au coaching de Pablo Correa. J'ai aussi grandi avec le calme d'Arsène Wenger et les tacles de Laurent Koscielny sur Canal. Mais parce qu'il n'y a pas que le football dans la vie, je vibre tout autant à encourager Thibaut Pinot dans son virage, Julia Simon devant L'Equipe, mais aussi Arthur Fils sur Eurosport.

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