La rivalité Shawn Michaels-Bret Hart a fait couler beaucoup d’encre en son temps et même après. Aujourd’hui, avec 20 ans de recul, retour avec WeSportFR sur l’une des plus belles rivalités de l’histoire de la WWE.

Les affrontements les plus connus entre Shawn Michaels et Bret Hart sont bien sûr le Iron man match à Wrestlemania XII et le Montreal Screwjob aux Survivor Series 1997. Mais au départ, tout fut une histoire d’échelles. En 1992, les deux hommes s’affrontaient déjà mais pour le titre intercontinental (déjà aux Survivor Series) match que Michaels perdra. Ensuite, pour tenter de conclure cette rivalité, une stipulation est crée : Le Iron man match : Une heure de combat, le catcheur qui remporte le plus de points par tombé , soumission, disqualification ou décompte à l’extérieur remporte le match et le titre. Michaels gagnera 1-0 en mort subite (prolongation) mais la rivalité est loin d’être terminée…

(source: prowrestlingsuperblog.wordpress.com)

Le Montreal Screwjob : L’incident de trop pour le Hitman.

1997 : En froid avec Vince Mcmahon et alors que la rivalité WWE-WCW approche, Shawn Michaels et Bret Hart s’affrontent encore une fois aux Survivor Series mais pour le titre mondial cette fois avec un objectif secret : Son contrat arrivant à terme, Bret Hart ne doit pas gagner afin de ne pas aller chez l’ennemi avec le titre de la fédération du Connecticut. Alors, Vince Mcmahon commettra l’impensable : Pendant que Shawn Michaels porte un Sharpshooter (finisher de… Bret Hart) et le président fait sonner la cloche. Plus gros vol de l’histoire du catch. (Pour l’anecdote, il fera pareil aux Survivor Series 1998 pendant le combat entre Mankind et The Rock à l’encontre du premier et tentera la même chose à Money in the bank 2011 entre John Cena et CM Punk au désavantage du second.)

(source: www.prowrestlingstories.com)

Les deux hommes qui étaient en rivalité de par leur origine (Michaels est texan, Hart est canadien) se réconcilieront finalement en janvier 2010 quelques mois avant la retraite du Showstopper. La fin de quelque chose à Stamford.

Jules Hagneré.