Atalanta – PSG : les notes du match !
Le PSG l'a fait ! Les Parisiens atteignent enfin les demi de la Ligue des Champions au terme d'un scénario rocambolesque ! Allez on s'envoie les notes.
Les notes des pensionnaires du vestiaire domicile de l'Estadio da Luz :
Sportiello (5) : Impuissant sur les buts, mais ça coûte quand même cher.
Djimsiti (6) : A fait le job. Prétendant à la prochaine Akon City, Djim City.
Caldara (5) : Couvre le hors jeu sur la passe de Neymar. Petit pas devant, petit pas derrière.
Toloi (5) : Rafael To late à la 95e.
Hateboer (6) : Très bon sur ce côté droit, belle trouvaille de l'Atalanta.
Gosens (6) : Robin des quarts.
De Roon (5) : Ne pense qu'à son post Twitter d'après match.
Freuler (6) : A fini en pointe comme ton meilleur boulanger de 45 ans pour faire le nombre le dimanche en district.
Papu Gomez (7) : Bergame ne va pas pouvoir “Bailar como el Papu”.
Pasalic (8) : Joueur le plus incompréhensible de l'histoire, mais lucide quand faut presque éliminer le PSG.
Zapata (5) : Des grosses cuisses qui n'ont pas mises en difficulté la charnière parisienne.
Les notes des pensionnaires du vestiaire visiteurs de l'Estadio da Luz :
Navas (7) : A tenu longtemps avant que son but et sa cuisse ne lâche.
Kehrer (5) : Sthilo va donc écrire l'histoire du PSG ce soir. On ne t'oublie pas Grégory.
Silva (6) : Capitaine Flamme s'offre un dernier tour de piste supplémentaire.
Kimpembe (7,5) : L'enceinte Bose avait enfin de la batterie.
Bernat (6) : Reste un très bon joueur de football quand il faut jouer à fond.
Marquinhos (6) : Ne reverra pas Carol, et ça nous rend triste quand même.
Herrera (4) : Aura un peu plus de temps a passé devant les micros.
Gueye (5) : A beaucoup couru. Bien la seule de correct dans son match.
Neymar Jr (8) : A raté d'énormes occasions, mais pas facile de jouer avec des plots. Jusqu'à la rentrée de Kyky qui a enfin pu lui donner le deux du une.
Sarabia (4) : Pablo Charabia ce soir.
Icardi (2) : Comme son nombre de ballons touchés depuis la reprise post confinement. Remplacé par Choupo (10), le vrai C de la MCN.
Crédit photo / L'internaute