La première séance d'essais libres du Grand Prix de Singapour de Formule 1 a été perturbée par deux drapeaux jaunes. La raison est plutôt étonnante : un lézard se trouvait sur le circuit de Marina Bay. Max Verstappen (Red Bull) s'est de nouveau retrouvé face à cette situation, sept ans après sa première rencontre avec le même animal au même endroit. Malheureusement, un reptile a été touché par un autre pilote en fin de séance.
A l'occasion des EL1 à Singapour, les pilotes ont été propres sur le tracé urbain dessiné autour de la Marina Bay. Pourtant, deux drapeaux jaunes ont été agités au bord de la piste pour la même raison. A vingt-cinq puis cinq minutes du terme de la séance, des varans ont traversé la piste. Pour protéger les reptiles, la direction de course a fait ralentir les pilotes afin que ces derniers puissent éviter les animaux dans le deuxième secteur. En fin de session, Fernando Alonso (Aston Martin) aurait touché l'un deux avec sa roue avant droite. L'Espagnol n'a rien pu faire pour éviter l'un des gros lézards.
Bis repetita pour Verstappen
Cela était déjà arrivé en 2016 à Max Verstappen. Le Néerlandais avait croisé un varan de plus d'un mètre de long. Son ingénieur s'était amusé de cette situation, déclarant à la radio : « Face à face avec Godzilla ! » Ce vendredi, le double champion en titre a encore relevé la présence du reptile sur l'asphalte : « Il y a à nouveau un lézard sur la piste ! Un plus petit cette fois-ci. » Gianpiero Lambiase, en contact direct avec Super Max, a suggéré que « Godzilla a peut-être eu un fils. » Sept ans plus tard, l'homme et la bête se sont de nouveau croisés à Singapour !