Montpellier : les incroyables révélations de Rémy Cabella sur la gestion du président Nicollin
De retour à Montpellier en avril 2022, Rémy Cabella aurait souhaité terminer sa carrière au MHSC. Il n'en a rien été. En ce milieu de semaine, l'actuel joueur du LOSC a fait des révélations troublantes sur la gestion du président Nicollin.
L'histoire aurait pu être belle. Formé à Montpellier, champion de France de Ligue 1 avec le MHSC, Rémy Cabella avait été autorisé à faire son retour dans l'Hérault, en avril 2022, alors que le conflit armé entre la Russie et l'Ukraine battait son plein.
Dans la foulée, le milieu offensif qui va fêter ses 35 ans dans quelques jours, qui venait de jouer gratuitement pour son club de cœur, attendait avec impatience de signer la prolongation de contrat sur deux saisons promise par le président Laurent Nicollin. Elle n'est jamais venue.
Remy Cabella sur le transfert raté au MHSC… ☹️ pic.twitter.com/Do1YweDf88
— ZackNaniProd (@ZackNaniProd) February 12, 2025
“Je me suis senti trahi”, Cabella cash sur Nicollin
Interrogé par le célèbre Youtubeur Zack Nani, Rémy Cabella a d'abord expliqué : “Je trouvais qu’à Montpellier, on manquait un peu d’exigence. Je ne suis pas Messi ou Ronaldo, mais à l’entrainement, des choses m’avaient un peu déçu. Parfois, je le disais et peut-être que cela n’a pas plu à certains qui pouvaient l’entendre, mais chacun le prend comme il veut. Moi, je le disais pour faire avancer le club.”
Puis le natif d'Ajaccio a détaillé son été 2022. La promesse d'un contrat de la part de Laurent Nicollin. Avant d'évoquer plusieurs raisons (attente de la signature de Florent Mollet à Schalke, problèmes financiers, accord du coach Olivier Dall'Oglio, signature de Wahbi Khazri) ayant abouti à son départ du MHSC.
Aujourd'hui, Rémy Cabella dispute la Ligue des champions avec le LOSC, quand Montpellier est au bord d'un retour en Ligue 2. Si les déboires du club de la Paillade ne font pas plaisir à l'enfant de la maison, force est de constater que le président Nicollin peut s'en mordre les doigts, une fois de plus.
