Au terme d'un match très disputé, l'OM s'est finalement imposé 2 buts à 0 sur la pelouse du Nîmes Olympique.
Le fil du match : Nîmes – OM
Dans les premières minutes, les locaux mettent beaucoup d'impact et obligent les marseillais à commettre des fautes. Amavi est sanctionné par l'arbitre dès la première minute de jeu. Après la belle entame nîmoise, les hommes de Villas-Boas récupèrent le contrôle du ballon. A la 13e minute, Payet crochète et frappe du gauche, Reynet effectue une superbe parade. Quelques minutes plus tard, sur un coup-franc, Eliasson voit le ballon s'écraser sur la barre transversale de Mandanda. Les visiteurs poussent et Cuisance n'est pas loin de trouver le petit filet à la suite d'une jolie ouverture de Payet. En fin de période, les esprits s'échauffent et les fautes se font plus nombreuses que les occasions. Quatre joueurs de l'OM sont avertis à la pause, contre un côté nîmois.
Deuxième période
En début de deuxième acte, Marseille est de nouveau en possession du cuir. Benedetto est de plus en plus actif et facilement trouvable pour ses partenaires. Il se procure une occasion à la 48e, mais n'inquiète pas Reynet. Juste avant l'heure de jeu, l'attaquant argentin profite d'une longue passe d'Alvaro pour s’amener la balle et venir tromper le portier des crocos. Après l'ouverture du score olympienne, Nîmes réagit bien et enclenche un pressing plutôt efficace. Mais, les espoirs nîmois sont rapidement éteints lorsque Cubas est exclu du terrain après deux cartons jaunes en 3 minutes. Le rapport de force s'inverse une nouvelle fois et au terme d'une action collective rondement menée, c'est Germain qui offre le break à l'OM quelques minutes avant le terme de la rencontre.
Les hommes d'André Villas-Boas signent ici leur cinquième succès de rang, l'OM est provisoirement second du championnat, à une petite longueur du Paris Saint-Germain mais toujours avec un match en moins. Les olympiens rencontreront Monaco la semaine prochaine après l'affrontement final de leur poule de Ligue des Champions, face à la bande Pep Guardiola.
Crédit image en une : Icon Sport