Ce vendredi 4 octobre 2024, les Grecs de l'Olympiakos vont entamer leur campagne d'Euroleague sur le parquet bouillant de Fenerbahçe, en Turquie. Un match qui marquera le grand retour du Français Evan Fournier sur la scène européenne. Mais l'ancien joueur NBA semble sûr de son fait. 

Il y a quasiment un mois jour pour jour, Evan Fournier a beaucoup fait parler de lui. Et pour cause. Après avoir été sacré vice-champion olympique avec l'équipe de France, à Paris, le joueur de 31 ans a rendu officielle sa liaison avec les Grecs de l'Olympiakos. Drafté en NBA en 2012, l'ancien de Nanterre et Poitiers a donc signé son grand retour en Europe. Pas dans n'importe quel club. En effet, le meilleur club de Grèce avec le Panathinaïkos a déjà remporté l'Euroleague à trois reprises durant son histoire, atteint la finale en 2023. Avec un tel renfort, les objectifs sont forcément élevés. De quoi faire de l'Olympiakos l'un des favoris au titre en Euroleague.

Euroleague : première étape ce vendredi à Fenerbahçe

Alors qu'il ne commencera le Championnat de Grèce que lundi prochain, l'Olympiakos va avoir droit à un apéritif copieux ce vendredi soir. Avec un déplacement en terres hostiles, sur le parquet de Fenerbahçe. En Turquie, les ambiances sont bien souvent bouillantes. Encore plus quand il s'agit de se mesurer à une formation grecque. Autrement dit, Evan Fournier, star du Basket tricolore, ne pouvait rêver entrée en matière plus passionnante. En attendant le comeback en France, début décembre, à Monaco, le joueur de bientôt 32 ans ne ressent pas de pression particulière.

“Je suis excité, j'ai hâte de jouer”, Evan Fournier est fin prêt

Interrogé à la veille de ce Fenerbahçe – Olympiakos, Evan Fournier a été cash : “C'est une bonne façon de commencer la saison avec un match difficile à l'extérieur. Je suis excité et j'ai hâte de jouer. On va avoir un bon entraînement ce soir et on verra ce qui se passe… Quand on joue à l'extérieur, le plus important, c'est d'être concentré, de respecter le plan de jeu et de jouer ensemble.” Avant de dédramatiser concernant le passage de la NBA au basket européen : “En ce qui me concerne, je ne pense pas que ce sera difficile pour moi de m'adapter au style européen. Le basket, c'est le basket.” À lui de prouver ses bonnes dispositions ce vendredi.