Auto/Moto

F1 : Fernando Alonso assez critique sur le niveau d’Aston Martin

Auteur d'un début de saison contrastée, Aston Martin doit apporter ses premières améliorations sur sa monoplace ce week-end à Suzuka (Japon). Pas forcément de quoi rassurer Fernando Alonso, assez critique à l'égard de son écurie.

2024 ne ressemble absolument pas à 2023 pour Aston Martin et Fernando Alonso. La saison dernière, le pilote espagnol avait débuté l'année par trois podiums, en prenant la troisième place à Bahreïn, en Arabie saoudite et en Australie. Cette année, Alonso a, certes, terminé dans les points lors de chacun de ces trois Grands Prix, mais n'a pas pu faire mieux qu'une cinquième place (à Djeddah).

En panne de résultats, Aston Martin doit apporter de premières améliorations à sa monoplace, l'AMR24, ce week-end à Suzuka (Japon). Le Canadien Lance Stroll les a déjà installées ce vendredi, alors qu'Alonso attendra samedi pour les découvrir.

“Quatrième ou cinquième force du plateau”

Ces premières améliorations concernent trois secteurs : le plancher, le diffuseur et le capot moteur. Avec, Lance Stroll n'a pas réussi à doubler Fernando Alonso lors des deux premières séances d'essais libres. Ce qui ne rassure pas forcément l'Espagnol sur le niveau de la monoplace. “Nous ne devrions pas être dans une position très différente de celle de l’Australie, donc je pense que nous serons toujours la quatrième ou cinquième équipe la plus rapide”, a commenté Alonso. En Australie, Alonso avait terminé huitième, deux places derrière son coéquipier Lance Stroll.

Pour lui, ce Grand Prix du Japon risque d'être compliqué pour Aston Martin. “Nous verrons si nous pouvons tout optimiser pour demain [pour les qualifications, ndlr], mais dimanche sera une course difficile pour tout le monde”, a avancé l'Espagnol, lucide sur les performances de sa monoplace jusqu'ici.

Rentré dans le rang par rapport à la saison dernière, Aston Martin tentera de faire mieux que l'an dernier lors du Grand Prix de Suzuka. Fernando Alonso avait terminé huitième, tandis que Lance Stroll avait été contraint d'abandonner.

Les mots "Minnesota Miracle" et "No-Call" sont rayés de mon vocabulaire. Mon cœur pleure la retraite de Drew Brees.

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