Le monde du cyclisme aura les yeux tournés vers l'Italie en ce mois de mai 2023 avec la 106 édition du Giro. Le parcours de cette année comprendra trois étapes de contre-la-montre et sept arrivées en altitude. Découvrez le profil et le parcours des 21 étapes du Giro 2023.
Après avoir débuté la course en Hongrie l'année dernière, le Grand Départ du Giro revient en Italie avec un contre-la-montre individuel le 6 mai prochain le long de la côte des Abruzzes.
L'étape d'ouverture ouvre la voie à 21 étapes qui s'annoncent passionnantes, avec notamment des arrivées au sommet de Crans Montana, Monte Bondone, Val di Zoldo et Tre Cime di Lavaredo, et surtout un contre-la-montre individuel en montagne lors de l'avant-dernière étape.
Le Tour d'Italie de cette année sera marqué par la présence de Remco Evenepoel, vainqueur de la Vuelta a Espana l'an dernier, de Primoz Roglic, triple vainqueur de la Vuelta, de Geraint Thomas, vainqueur du Tour de France 2018, et de Tao Geoghegan Hart, vainqueur du Giro d'Italia en 2020, ainsi que d'un grand nombre d'autres candidats à la victoire finale.
Le profil des 21 étapes du Giro 2023
Étape 1 – Fossacesia Marina – Ortona – 18,4 km TT – Samedi 6 mai
Le contre-la-montre individuel inaugural se déroule sur un terrain plat pendant environ 14 km, puis monte légèrement jusqu'à l'arrivée, où des points de la montagne sont à gagner. Dans la première partie, l'étape suit la Ciclovia Adriatica, sur une route plate et bien goudronnée, empruntant 6 tunnels courts et bien éclairés le long du parcours. La route se rétrécit légèrement lorsque l'on quitte la piste cyclable. La montée finale (environ 1 km) menant à la zone urbaine d'Ortona commence après le deuxième croisement.
L'ascension mesure 1300m de long avec une pente moyenne de 5,4%. Après une légère descente vers le Castello Aragonese, et un virage sur la gauche, la route remonte à une légère pente de 2 % sur les 750 derniers mètres.
Étape 2 – Teramo – San Salvo – 204 km – Dimanche 7 mai
L'étape alterne le plat le long de la côte et le vallonné dans l'arrière-pays. Le parcours comprend quelques ascensions relativement faciles (Bellante, Controguerra et Colonnella), puis suit la Statale Adriatica jusqu'à Silvi Paese, avec des points de la montagne à gagner au sommet d'une montée de 4 km. L'itinéraire passe par Pescara (le long de la côte) et monte jusqu'à Chieti puis Ripa Teatina. Après avoir retrouvé le bord de mer, l'étape se poursuit le long de la côte jusqu'à l'arrivée à San Salvo. Les routes du bord de mer sont larges et comportent quelques virages, tandis que les routes à l'intérieur des terres sont plus étroites, ondulées et sinueuses.
Les derniers kilomètres sont essentiellement rectilignes et parfaitement plats, avec des ronds-points, des séparateurs de trafic et des îlots pour piétons. Un rond-point situé à 1 400 mètres de l'arrivée, à prendre dans le sens de la circulation, conduit au dernier virage, à 1 km de la ligne. Un sprint massif semble inévitable.
Étape 3 – Vasto – Melfi – 210 km – Lundi 8 mai
Cette étape est divisée en deux parties distinctes. Elle commence sur le plat pendant 170 km, sur des routes larges et généralement rapides, avec quelques virages légers. La route change ensuite lorsqu'elle atteint les Monti del Vulture. La route qui traverse le Valico dei Laghi di Monticchio pour rejoindre les lacs est complexe, avec des pentes de 6 à 7 %. Après une courte descente, la route remonte le Valico la Croce, atteint Rionero in Vulture et continue, en serpentant principalement en descente, sur des routes relativement larges, jusqu'à Melfi.
Les derniers kilomètres de l'étape commencent par une courte montée vers le centre de Melfi, la route descend vers la gare (avec des ronds-points, des séparateurs de trafic, etc.) et remonte ensuite vers l'arrivée. Il y a une courte descente dans le dernier kilomètre, juste avant un large virage qui mène à la dernière ligne droite de 350 m de long, en montée (environ 5 %).
Étape 4 – Venosa – Lago Laceno – 184 km – Mardi 9 mai
Une étape à travers les Apennins, avec deux ascensions longues et faciles des montagnes de la Basilicate. Au début, le parcours se déroule sur une route rapide, puis il s'attaque à deux ascensions classées, en lacets continus vers le haut et vers le bas, avec des pentes régulières d'environ 5-6 %.
Les 15 derniers kilomètres sont en pente raide jusqu'au plateau, où la route se stabilise sur les 4 derniers kilomètres. La montée du Colle Molella (9,9 km à 6,0 %) se termine 3 km avant l'arrivée. Après Bagnoli Irpino, la route monte en épingle à cheveux pendant 3 km, avec des pentes d'environ 10 % et des pointes à 12 %. Les 3 derniers kilomètres sont plats ou en pente descendante, avec un large virage autour du Lago Laceno.
Étape 5 – Atripalda – Salerno – 172 km – Mercredi 10 mai
Ondulée au début, la route s'aplatit par la suite, ce qui laisse présager une arrivée au sprint du peloton. Après le départ, la route serpente à travers Irpinia, avec des ondulations continues (et la du Passo Serra) sur des routes en assez mauvais état, avant de s'engager sur des routes à circulation rapide (avec quelques tunnels larges et bien éclairés) à Lioni. Après une courte montée vers Oliveto Citra, la route atteint Battipaglia.
Les 15 derniers kilomètres le long de la côte tyrrhénienne sont plats et rectilignes jusqu'à l'arrivée.
Étape 6 – Napoli – Napoli – 156 km – Jeudi 11 mai
Toute l'étape est ondulée et sinueuse, avec d'innombrables virages et ondulations. Dans un premier temps, la route fait une boucle autour du Vésuve, principalement sur des routes urbaines, avec quelques obstacles sur le chemin car la route traverse quelques centres-villes, et trois passages à niveau. Après avoir négocié le Valico di Chiunzi, la route rejoint le littoral et suit la côte amalfitaine jusqu'à Sorrente. Le final de l'étape se déroule entièrement sur des routes urbaines, traversant plusieurs zones urbaines. Le final de l'étape dans l'agglomération de Naples se déroule sur de larges routes goudronnées.
Dans les 3 derniers kilomètres, la route s'élève légèrement sur des pavés, avec peu de virages, puis s'aplanit sur les 2 derniers kilomètres, jusqu'à la Via Caracciolo. La dernière ligne droite mesure 900. Les hommes rapides du peloton devrait pouvoir s'expliquer lors de cette étape.
Étape 7 – Capoue – Gran Sasso d'Italia (Campo Imperatore) – 218 km – Vendredi 12 mai
L'étape est très longue (218 km). Les 90 premiers kilomètres se déroulent sur des routes rapides à travers Isernia et Rionero Sannitico ; la chaussée est large et bien revêtue, avec quelques tunnels bien éclairés le long du parcours. Le parcours de l'étape aborde ensuite la montée classée de Roccaraso, suivie d'une longue descente menant à Sulmona et Popoli. Après Bussi sul Tirino, le parcours s'engage dans la montée finale (environ 45 km), avec quelques courts tronçons en contre-pente. L'ascension est divisée en deux parties : la première jusqu'à Calascio, et la seconde (plus courte et plus raide) jusqu'à l'arrivée.
Les rampes sont raides sur les 7 derniers kilomètres. Au sommet, les coureurs seront à plus de 2000m d'altitude avec des pentes d'environ 9 % et un maximum de 13 %.
Étape 8 – Terni – Fossombrone – 207 km – Samedi 13 mai
L'étape est divisée en deux parties. Les 150 premiers kilomètres servent d'approche à la ville d'arrivée. Sur les 60 km suivants, la route ondule continuellement autour de l'arrivée, traversant le centre urbain à deux reprises (dont une fois sur la ligne). La longue approche se fait sur des routes rapides avec quelques tunnels et quelques zones urbaines le long du parcours, comme Foligno et Cagli, où les ronds-points, les séparateurs de trafic et les îlots pour piétons seront les obstacles les plus fréquents. Le final de l'étape commence après la Gola del Furlo (sur une route étroite mais bien goudronnée). Le parcours emprunte la montée des Cappuccini, passe au-dessus de l'arrivée et s'attaque à la montée du Monte delle Cesane (avec des passages à 18 %). Le parcours fait une grande boucle, passe près de l'arrivée à 10 km de l'arrivée et monte pour la deuxième fois dans la montée des Cappuccini.
Le “Cappuccini” monte en épingle à cheveux sur 2,8 km, avec des pentes régulièrement supérieures à 12 %, et un maximum à 19 % à mi-parcours. Passé le sommet, l'arrivée est à 5,6 km. La route descend rapidement sur 4 km, puis se stabilise sur les derniers 1 600 m.
Étape 9 – Savignano Sul Rubicone – Cesena – 33,6 km – Dimanche 14 mai
Un contre-la-montre individuel parfaitement plat, disputé principalement sur des routes larges et bien pavées, avec seulement quelques virages. La chaussée se rétrécit par endroits lorsque l'on traverse les zones urbaines de San Mauro Pascoli et de Cesena, et il y a un court tronçon de porphyre (routes en mosaïque de granit) à Cesena. La route est plate et droite dans le final de l'étape.
Après la ville de Cesena, les 3 derniers kilomètres sont plats et rectilignes, avec un seul virage à 1 900 m avant l'arrivée. Bref, un chrono pour les spécialistes.
Étape 10 – Scandiano – Viareggio – 190km – Mardi 16 mai
Une étape roulante qui franchit les Apennins toscans en direction de la mer Tyrrhénienne. Après des ondulations de plus en plus longues, les coureurs arriveront à la montée du Passo delle Radici, qui, dans l'ensemble, peut être considérée comme longue montée de près de 40 km. À l'exception des 3 derniers kilomètres, les pentes sont relativement faibles. Après une descente rapide et technique vers Castelnuovo Garfagnana, l'itinéraire emprunte une courte montée vers Monteperpoli. Une longue descente en faux-plat, passant juste à côté de Lucques, mène à Camaiore vers la côte et jusqu'à l'arrivée.
Les 3 derniers kilomètres sont plats et rectilignes, le long du bord de mer, de Camaiore à Viareggio.
Étape 11 – Camaiore – Tortona – 220 km – Mercredi 17 mai
Avec 219 km, c'est l'étape la plus longue du Giro. D'abord plate, la route atteint la province de La Spezia et traverse les Apennins ligures par le Passo del Bracco et le Colla di Boasi. Les routes sont ondulées et sinueuses, et pour la plupart étroites. La route traverse la vallée et pénètre dans la plaine d'Alessandria par le Passo della Castagnola. Les routes sont larges et droites sur les 30 derniers kilomètres, avec quelques ronds-points et autres obstacles à la circulation.
Les derniers kilomètres sont essentiellement rectilignes, avec seulement quelques ronds-points. Il y a un dernier virage (sur un rond-point) environ 500 m avant l'arrivée.
Étape 12 – Bra – Rivoli – 179km – Jeudi 18 mai
Le parcours de l'étape comprend un tronçon vallonné de 50 km, un parcours plat d'Alba au premier col de Rivoli (75 km) et un circuit final (54 km) avec l'ascension du Colle Braida. Le premier tronçon est ondulé et sinueux, avec des virages et des ondulations à n'en plus finir. Les zones urbaines du circuit final sont parsemées de ronds-points et d'îlots de circulation. La montée de Colle Braida, après Avigliana, est longue de 9,8 km, avec des pentes supérieures à 7 % et culminant à 12 %. Dans la descente et à l'approche de l'arrivée, le parcours est technique avec la traversée de plusieurs zones urbaines.
Les 3 derniers kilomètres se situent à l'intérieur de la zone urbaine de Rivoli. La chaussée se rétrécit entre la borne des 2 km et le dernier kilomètre ; la route descend et prend des virages pour rejoindre le Corso Einaudi à 750 mètres de l'arrivée. Après un virage serré à gauche, la route monte à 8 % sur 200 m.
Étape 13 – Borgofranco d'Ivrea – Crans Montana – 208km – Vendredi 19 mai
Cette colossale étape alpine comprend la Cima Coppi (le point le plus élevé de toute la course). La route remonte la vallée d'Aoste jusqu'à la capitale régionale, au pied de la longue montée du Colle del Gran San Bernardo (34 km à 5,5 %), la Cima Coppi du Giro 2023, et le troisième plus haut col routier de Suisse, à une altitude de 2 469 mètres.
Les routes sont larges et bien revêtues pendant la quasi-totalité de l'étape. La route emprunte ensuite une longue descente (30 km) vers Sembrancher, se dirige vers Verbier et emprunte une toute première ascension de la Croix de Cœur (15 km à environ 9 %). Vient ensuite une descente technique, dont la première partie est une chaussée étroite, tandis que la seconde partie est large et parfaitement revêtue, avec six tunnels bien éclairés. Le parcours traverse ensuite la vallée du Rhône (seule partie parfaitement plate de l'étape), jusqu'au pied de la montée finale.
La montée finale (13 km à 7 %) est raide dans sa première partie, avec plusieurs épingles à cheveux. La pente s'atténue jusqu'aux derniers kilomètres, avec une légère descente dans la dernière ligne droite. La dernière ligne droite est longue de 300 mètres, sur un asphalte de 8 mètres de large, et en montée.
Étape 14 – Sierre – Cassano Magnago – 194km – Samedi 20 mai
L'étape comporte une montée difficile dès le début, suivie de 150 km de descente et de terrain plat. Après avoir franchi le col du Simplon, l'itinéraire comporte une descente technique vers l'Italie, avec plusieurs tunnels. Les routes sont larges et droites dans la première partie, de la frontière au lac Majeur, et plus complexes le long des rives du lac. La route est un peu plus accidentée dans la dernière partie, après Sesto Calende, mais toujours sur des routes bien asphaltées. Les zones urbaines sont équipées de dispositifs de ralentissement de la circulation.
Le final de l'étape se déroule principalement en zone urbaine, sans obstacle particulier. Les routes sont droites, avec peu de virages.
Étape 15 – Seregno – Bergame – 191km – Dimanche 21 mai
Il s'agit d'une étape de montagne “urbaine”. Les ascensions de Valico di Valcava, Selvino, Miragolo San Salvatore et Valpiana (Roncola) s'enchaînent sans presque aucune pause. Le parcours fait deux boucles et passe par l'arrivée avant d'entamer la dernière boucle. Les routes sont ondulées et sinueuses, étroites mais bien revêtues. Après la dernière montée (Valpiana), les 9 km suivants (le seul tronçon plat de la finale de la course) servent d'approche à la ville. Le parcours passe ensuite par Città Alta, en direction de l'arrivée.
Sur les derniers kilomètres, le parcours traverse la ville haute (Bergamo Alta) et monte pour atteindre Porta Garibaldi puis Largo Aperto (200 m sur un pavé de galets). Dans le premier temps, les pentes ne sont jamais inférieures à 10 % (avec un maximum de 12 %). Dans la descente, la chaussée est large et le revêtement est lisse. À 1 800 m de l'arrivée, un virage serré et un secteur sur une chaussée rétrécie mènent à Porta Sant'Agostino. Après la flamme rouge, la route prend un large virage à gauche qui mène à la ligne d'arrivée.
Étape 16 – Sabbio Chiese – Monte Bondone – 198 km – Mardi 23 mai
La première partie de l'étape longe le lac de Garde, avec plus de 30 tunnels bien éclairés et bien goudronnées. Après Riva del Garda, le parcours comporte deux ascensions de plus de 5 000 mètres de dénivelé. Les coureurs emprunteront le Passo di Santa Barbara (12 km, pente moyenne supérieure à 8 %) et le Passo di Bordala (4,5 km, environ 7 %), pour entrer dans la vallée de l'Adige et, après Rovereto, dans la Vallarsa. Après les ascensions consécutives de Matassone (13 km à 5 %) et de Serrada (17 km à 5,5 %), l'itinéraire passe par Folgaria et retourne dans l'Adige. Enfin, il y a la montée du Monte Bondone du côté d'Aldeno (20 km à 6,8 %, avec une pente max à 15 %).
Les derniers kilomètres sont en légère montée (pente moyenne d'environ 4 %).
Étape 17 – Pergine Valsugana – Caorle – 192km – Mercredi 24 mai
Le parcours est en légère descente et ne présente aucun obstacle topographique. L'étape traverse la Valsugana jusqu'à Bassano del Grappa, emprunte une route nationale sur une courte distance, puis les routes provinciales qui lui sont parallèles, plus étroites et moyennement bien revêtues.
Après avoir traversé la plaine de Venise et Trévise sur des routes droites et bien revêtues, avec peu de virages, la route atteint Lido di Jesolo pour le final de l'étape le long de la côte.
Les derniers kilomètres se déroulent sur des routes urbaines, avec quatre lignes droites reliées par quatre virages. Les routes sont bien asphaltées et relativement larges.
Étape 18 – Oderzo – Zoldo Alto – 160km – Jeudi 25 mai
Il s'agit d'une véritable étape de montagne. Le parcours grimpe le Passo della Crosetta (11 km, 7 % de pente) jusqu'au Cansiglio, puis descend ou ondule, en serpentant continuellement, dans la vallée du Piave, jusqu'à Pieve di Cadore. La course entre dans la vallée de Boite et monte la Forcella Cibiana (9,6 km, pente de 8 %), puis entre dans le Val di Zoldo pour l'ascension finale.
Les 15 derniers kilomètres dans le Val di Zoldo comportent deux ascensions classées. La première, Coi, présente des pentes de près de 20 % ; la route est étroite par endroits. Le sommet se situe à 5 km de l'arrivée. Une courte descente mène aux 3 derniers kilomètres, avec des pentes avoisinant les 6 %.
Étape 19 – Longarone – Tre Cime di Lavaredo – 160 km – Vendredi 26 mai
Une étape colossale à travers les Dolomites, avec cinq ascensions consécutives enchaînées sans temps mort. Après avoir remonté le Val Cordevole (par Belluno, Agordo et Alleghe), le parcours gravit les cols de Campolongo, Valparola, Giau et Tre Croci, avant d'entamer la dernière ascension vers le Rifugio Auronzo. Les routes sont en excellent état et assez larges, avec quelques tunnels bien éclairés dans la première partie. Les montées comportent de nombreuses épingles à cheveux et les descentes sont rapides et techniques, en moyenne.
L'ascension finale est un véritable défi. La route monte avec des pentes maximales de 18 % sur les premiers 1,5 km, devient un faux-plat au Lago di Antorno et descend ensuite rapidement jusqu'à la borne des 4 km (la chaussée se rétrécit à la fin de la descente, lorsque l'itinéraire passe la barrière de péage). La pente oscille autour de 12 % dans les 4 derniers kilomètres, pour atteindre 18 % dans la dernière partie.
Étape 20 – Tarvisio – Monte Lussari – 18,6 km – Samedi 27 mai
Un contre-la-montre individuel exigeant. L'étape commence par 11 km sur un terrain plat ou légèrement en pente, suivis d'une montée très raide vers le sanctuaire du Monte Lussari (7,5 km). Il y a une courte montée dans la première section, avec des pentes maximales de 15%, où le parcours entre sur la piste cyclable. À 9,4 km, il y a une zone où il est possible de changer de vélo. La partie finale, très raide, commence après le pont sur le ruisseau Saisera.
La dernière montée serpente en épingles à cheveux à travers les bois, sur un étroit revêtement en béton. Les 5 premiers kilomètres atteignent environ 15 % en moyenne, avec des pointes à plus de 20 %. Après les bois, la pente tombe à 4 % sur une courte distance. Une courte rampe dans le dernier kilomètre (avec des sections allant jusqu'à 22 %) est suivie d'une courte descente (8 %). Après un double virage, la route monte à 16 % sur les 150 derniers mètres, jusqu'à l'arrivée.
Étape 21 – Rome – Rome – 115km – Dimanche 28 mai
Le parcours est essentiellement plat et les routes sont larges et droites, avec de grands virages dans les 3 derniers kilomètres.
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