Basketball

L’ASVEL champion de France en battant la JDA Dijon !

Comme en finale de la Coupe de France il y a quelques mois, l'ASVEL a réussi à se défaire de Dijon, cette fois-ci pour s'offrir le vingtième titre de champion de France de son histoire.

Trois titres en cinq ans

C'est une rengaine à laquelle il faudra bien finir par s'habituer dans l'Hexagone. Après 2016 et 2019, respectivement face à Strasbourg et Monaco, l'ASVEL s'est offert un troisième titre en cinq saisons en venant à bout de Dijon, pourtant premier de la saison régulière. Un titre qui vient s'ajouter aux dix-neuf autres déjà remportés à l'échelle nationale par l'équipe de Tony Parker, plus que jamais l'équipe la plus titrée du basketball français.

Dans cette finale sèche (une seule manche gagnante) face à Dijon, l'ASVEL ne se présentait pourtant pas en pleine possession de ses moyens. Privés de cinq joueurs dont trois titulaires au coup d'envoi, les Villeurbannais ont d'abord été bousculés par leurs adversaires du jour, Dijon comptant jusqu'à sept longueurs d'avance dans le deuxième quart-temps.

Néanmoins, les hommes de TJ Parker inverseront rapidement la tendance. Grâce à une défense capable de faire déjouer le duo Axel Julien/David Holston, véritable clé de la réussite pour la JDA, et aux performances d'un David Lighty MVP (21 pts), l'ASVEL vire en tête à la pause (44-33) et comptera jusqu'à dix-huit points d'avance. Dijon résiste tant bien que mal dans le sillage du Belge Hans Vanwijn, meilleur marqueur du match avec 22 points, mais il est déjà trop tard. Les joueurs de Laurent Legname, qui vivait son dernier match sur le banc dijonnais, ne reviendront pas et l'ASVEL peut savourer le vingtième titre de son histoire.

Le Kindarena de Rouen aura donc été un lieu festif pour l'ASVEL, qui quitte la Normandie en ayant remporté ce Final Four pour redevenir champion de France. Récemment devenue membre permanent de l'Euroleague, l'équipe de Tony Parker peut savourer un nouvel heureux évènement.

Crédit image en une : Le Progrès

Les mots "Minnesota Miracle" et "No-Call" sont rayés de mon vocabulaire. Mon cœur pleure la retraite de Drew Brees.

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